Effectivement, une solution serait la vente du bien, le prix de la vente étant ensuite réparti entre les comptes courants des associés, chacun pouvant en demander le remboursement. Mais cette cession pourrait être taxée (si plus-value). En fait, les associés n’ont aucune obligation de répondre au désir d’un associé de se retirer de la SCI. En l’absence de situation exceptionnelle, cet associé ne peut nullement exigé son retrait et le remboursement de ses parts. Consultez nos articles dans le dossier "sortir d’une SCI".
Effectivement, une solution serait la vente du bien, le prix de la vente étant ensuite réparti entre les comptes courants des associés, chacun pouvant en demander le remboursement. Mais cette cession pourrait être taxée (si plus-value). En fait, les associés n’ont aucune obligation de répondre au désir d’un associé de se retirer de la SCI. En l’absence de situation exceptionnelle, cet associé ne peut nullement exigé son retrait et le remboursement de ses parts. Consultez nos articles dans le dossier "sortir d’une SCI".