28 septembre 2012, 10:38, par SCI société civile immobilière
L’endettement de la SCI est partagé entre ses associés. Si l’un d’entre eux détient 30% du capital, une banque considérera qu’il est déjà endetté personnellement à hauteur de 30% de l’emprunt restant dû de la SCI. D’un autre côté, les revenus fonciers qu’il perçoit augmenteront sa capacité personnelle d’endettement, mais ces revenus fonciers (loyers - charges - taxes foncières...) ne sont pris en compte qu’à hauteur de 70% de leur montant (la banque considérant qu’une baisse de 30% de ses revenus est toujours possible, en cas de vacance d’un logement détenu par la SCI, travaux...).
En cas de démembrement, qui est endetté ? Le nu-propriétaire, et cet emprunt a un impact sur la valeur de ses parts. L’usufruitier quant à lui ne fait que percevoir des revenus (et payer de l’IR sur ces revenus), il ne subit pas personnellement l’endettement de la société.
L’endettement de la SCI est partagé entre ses associés. Si l’un d’entre eux détient 30% du capital, une banque considérera qu’il est déjà endetté personnellement à hauteur de 30% de l’emprunt restant dû de la SCI. D’un autre côté, les revenus fonciers qu’il perçoit augmenteront sa capacité personnelle d’endettement, mais ces revenus fonciers (loyers - charges - taxes foncières...) ne sont pris en compte qu’à hauteur de 70% de leur montant (la banque considérant qu’une baisse de 30% de ses revenus est toujours possible, en cas de vacance d’un logement détenu par la SCI, travaux...).
En cas de démembrement, qui est endetté ? Le nu-propriétaire, et cet emprunt a un impact sur la valeur de ses parts. L’usufruitier quant à lui ne fait que percevoir des revenus (et payer de l’IR sur ces revenus), il ne subit pas personnellement l’endettement de la société.