Les deux schémas sont envisageables, mais effectivement en pratique les banques n’acceptent généralement que le second, qui leur permet de saisir le bien en cas de défaut, et non les parts, qui sont moins facilement cessibles.
En cas de défaut de la SCI, la banque peut soit saisir le bien, soit se tourner vers les associés. Au cas où ceux-ci rembourseraient directement la banque, cela génère effectivement un compte courant, dont le taux peut être librement déterminé (il peut notamment être nul), mais qui pour être déductible doit être inférieur à un plafond défini par décret (2,86% en ce moment).
Les deux schémas sont envisageables, mais effectivement en pratique les banques n’acceptent généralement que le second, qui leur permet de saisir le bien en cas de défaut, et non les parts, qui sont moins facilement cessibles.
En cas de défaut de la SCI, la banque peut soit saisir le bien, soit se tourner vers les associés. Au cas où ceux-ci rembourseraient directement la banque, cela génère effectivement un compte courant, dont le taux peut être librement déterminé (il peut notamment être nul), mais qui pour être déductible doit être inférieur à un plafond défini par décret (2,86% en ce moment).